Je sais ce que certains se disent, les jeunes, sa ne sais rien en terme de politique, sa ne les intéressent même pas, ça vote pas, ou peu. À ma connaissance, il est vrais que je ne sais pas toute l'histoire politique et gouvernementale et sa ne fait que 4 ans que je peu voter. En quatre année, j'y suis allez une seule fois. Ici, au Québec, c'est, il me semble, normal, étant donné le fonctionnement de notre démocratie. Je ne suis pas gêné de le dire, j'ai voté Québec Solidaire. Ici, du moins, à ce que j'en comprend, ce partie passe pour une bande de rêveur minoritaire qui réussissent à avoir un ou deux siège au conseil, pas bien plus et par la peau des fesses. Alors qu'il y a débats entre adultes, deux idées sortent, en général, alors du chapeau dès que je parle de cette action. La première est que c'est complètement inutile. Ho, c'est bien une action de jeune, sa, voté pour un partie qui n'ira jamais à la chefferie, c'est perdre son vote et au mieux, soutenir la cause de hippies des temps moderne. Moi, sa me fait rire, d'entendre sa. Je crois, au contraire, qu'il est important, peut-être vital, même, qu'il y ai, en la chambre des commune, au moins une personne pour soutenir des propos que l'on pourrait définir de libertin, je veux dire, quelqu'un qui rêve et qui en a pas peur. Qui rêve d'égalité, de solidarité, de respect, d'une autre façon de faire que la conventionnalité, d'une autre pensé que l'on qualifie parfois de dangereuse car elle recherche le mieux-être plutôt que de meilleurs performances. La deuxième pensé me saute à la gorge juste à ce moment là, la plus part du temps. On me dit: d'accord, t'a le droit, c'est ton vote et c'est bien, mais après? Après quoi? On me rappelle bien souvent que la machine social et politique est cruel pour les libres-penseurs, car même ceux qui passent entre les engrenage du systèmes ne font souvent que bien peu de «dégât» qui se trouvent parfois réparé avant même qu'il n'ai eu le temps de laissé le profit qu'il lui aurait été due. Je m'explique: entre la droite et la gauche, passe parfois des idées nouvelles portés par des gens, la plus par mal-chanceux, qui finissent écrasé par le système. Certains, bien connue (surtout ici), se faufile avec classe et habilité parmi les engrenages et réussissent parfois à y loger leurs idées, qui restent, ou pas. De temps à autre, sa créé de jolie tremblement de fonctionnaire sur la colline parlementaire. La plus par du temps, sa se transforme en simple frisson ou alors on fini par enterrer la chose. À ça, je répond que même un petit frisson peu suffire à un «veston-cravate» pour choppé le virus de la bonne idée. Bon, assez parlez politique pour aujourd'hui!
top of page

bottom of page